Entamons ce nouveau mois sur une bonne note

Je profite de ce billet pour faire l'éloge de l'amitié. Des amis, je n'en ai pas des tonnes. Mais ceux que j'ai ont été sélectionnés avec attention. Je ne les ai pas cherchés, ils se sont trouvés sur mon chemin. J'aurais pu passer outre et continuer ma vie sans jamais les connaître. Mais non! Il se trouve que nous ayons eu à cheminer ensemble sur certains sentiers jusqu'à la prochaine bifurcation, et ce copinage temporaire fut assez intense pour que je n'aie pas envie de les voir se perdre à jamais au détour du chemin. Certains sont restés hors de ma vue assez longtemps, mais les chemins finissent presque toujours par se recroiser à un moment donné. Et selon nos cheminements respectifs, nous nous sommes retrouvés à certaines croisées en même temps. Ben là!! Tu parles d'une belle coïncidence! Et paf! nous revoilà exactement tels que nous étions à l'embranchement qui nous avait vu nous séparer il y a... combien de temps, déjà?

Pour certaines amitiés, nos chemins parallèles nous permettaient de nous voir entre les branches. Nous ne nous sommes jamais vraiment quittés, mais nos rencontres sont restées fugaces. Heureusement qu'il y a internet pour la plupart d'entres nous!

Et justement, tout ce préambule sentimental sert à présenter cette vidéo que ma chère Viv!, qui est d'une discrétion on ne peut plus secrète, a fait parvenir à ses amies. Et je suis du nombre (Wouh!). Ce qui m'a fait réfléchir sur la nature du lien qui me lie à tous mes amis. Et outre leur grande sensibilité, c'est sans conteste un certain sens de l'humour commun. Et paf! Elle est tombée dans le mille! Et malgré mes réflexions sur ce qui me fait rigoler ou non, je n'ai pas de réponse rationnelle. Et c'est probablement ça, le fond du fond : l’irrationalité.

Alors sans plus de babillage, je vous laisse visionner ce monument de vacuité. Cette perle rare dans l'art de perdre son temps à fond la caisse. Ce n'importe quoi dont pour je ne sais pour quelles mystérieuses raisons, je regarde toujours avec le même sourire niais et jubilatoire. Avoir un peu plus de fierté, j'en serais honteuse. Mais non. Je m'assume, je persiste et signe. Ceux qui me connaissent, mes amis, ils ne seront pas surpris. Je les soupçonne même de se bidonner à l'abri de leur écran. Pour les autres, ben... revenez au prochain billet. Qui sait? J'aurai peut-être évolué un brin?