THE TIME YOU ENJOY WASTING IS NOT WASTED TIME
"Bertrand Russel"
vendredi 30 octobre 2009
Boooouu-ouuuuuh
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N'importe quoi
samedi 24 octobre 2009
ÉLISAPIE ISAAC : THERE WILL BE STARS
J'ai eu ce coup de foudre il y a quelques semaines, et depuis, je me suis procurée le CD. Il s'agit, tout comme le titre de ce billet l'indique, de "There Will Be Stars" de "Élisapie Isaac". Cela fait deux semaines que je me le repasse à tout moment soit en écoute active, en background pendant que je vaque à quelque occupation, ou dans mon lecteur mp3, et je dois dire que je l'aime de plus en plus après chaque écoute. Il s'agit d'une musique riche et simple à la fois, aux diverses influences. Et que dire de la voix d'Élisapie! D'une douceur infinie. Cette voix faisait autrefois partie du groupe Taïma, et voilà qu'Élisapie décide maintenant de voler de ses propres ailes et de nous faire planer avec elle sur ses belles mélodies.
Le CD s'ouvre tout en douceur sur une chanson en inuktitut (c'est qu'elle s'exprime en trois langues, la belle!) sur une musique des plus agréables. C'est planant et rythmé à la fois. Le ton est donné pour l'ensemble des pièces qui flirtent parfois avec le reggae, parfois avec le rock, tantôt avec un son plus jazzy et même une que l'on pourrait presque qualifier de disco (Turning My Back) avec tout l'aspect quétaine en moins, mais aucune des pièces ne peut vraiment se faire identifier à un de ces styles. C'est un style pop personnel définitivement moderne, tourné vers l'avenir et porteur à la fois de la tradition et des origines du peuple inouit, habité par la douce voix d'Élisapie. C'est enchanteur, envoutant et tellement unique.
Difficile de dire quelle pièce est ma préférée. D'ailleurs, il n'y en a même pas que j'aime moins! J'aime bien la basse jazzy, la guitare, oh, ce son de guitare, et les sons de gorge propre à la manière de chanter de son peuple sur "Inuk". Et que dire de "Why Would I Cry" langoureux et planant. Si on a pas l'impression de se vautrer sur une peau d'ours polaire après ça, j'sais pas ce que ça prendrait! Avec "Wish Song" on a envie de se laisser dériver doucement entre les banquises. Pour plus de rythme, "Out Of Desperation" nous donne envie d'être une jeune fille et de danser dans un grand champs de fleurs sous un soleil radieux.
M'enfin... toutes bonnes, j'vous dis! Allez, je vous laisse faire connaissance.
À noter la seule chanson en français (Moi, Elsie), écrite par nul autre que Richard Desjardins, qui est loin d'être le dernier des paroliers! Un texte magnifique et touchant taillé sur mesure pour Élisapie qui l'interprète accompagnée seulement d'un piano. Puis nous revenons sur terre avec la pièce finale "Do You Hear Me" qui nous reste plantée dans le cerveau en même temps que la flèche qu'elle nous a décochée en plein coeur.
Oh que oui, je t'entends, et tu as réussi à me les faire voir, tes étoiles!
Voici maintenant une vidéo de la pièce Butterfly enregistrée lors de l'émission Studio 12 il y a quelques semaines. (Je suis très reconnaissante à la personne qui a enregistré et mis cette vidéo sur YouTube, mais j'aurais tellement apprécié qu'elle ait su ajuster les paramètres de sa télé HD!! On croirait voir un band de hobbits!)
jeudi 22 octobre 2009
Quand le chat est pas là...
Vous vous absentez de la maison pour quelques heures? Vous avez pris toutes les précautions d'usage : défendu aux enfants d'inviter tous leurs amis pour faire la fête, activé le contrôle parentale sur internet, mis un cadenas sur votre bar, une ceinture de chasteté à votre ainée, activé la caméra vidéo en cas d'intrusion inopportune sur votre propriété, et c'est au retour que... vous vous rendez compte qu'il faudra aussi faire des recommandations à Tancrède avant de quitter la prochaine fois.
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Ah ben c'est le boutte
mardi 20 octobre 2009
Daniel Bélanger
AJOUT (13-11-09):
Wouh! Ça y est, je l'ai! Pour mon semblant de critique objective + 2 extraits bonus c'est par ICI
Wouh! Ça y est, je l'ai! Pour mon semblant de critique objective + 2 extraits bonus c'est par ICI
Juste comme je suis sur le bord du découragement à l'approche de ce temps de l'année que j'aimerais tant éviter en partant en orbite pendant quelques semaines dans l'espace (si un clown a pu le faire, je vois pas ce qui me retiendrais... ah si, je vois... je viens d'ouvrir mon porte-monnaie... zut!), juste comme je commence à voir des publicités d'album de Nouelle sur internet et que des pustules me poussent partout en regardant cela, juste parce que j'ai vu quelques flocons valser dans le ciel cette semaine et que suite à cela le cafard m'envahit doucement l'âme, v'la-ti pas que je tombe sur cette vidéo présentant le premier extrait "Reste" du prochain album "Nous" de Daniel Bélanger. Disons que ça a agit comme un baume.
C'est pas que la chanson soit un hymne à la joie et invite à danser pieds nus dans un champs de marguerite, mais... ça m'a plu. C'est bon comme du Bélanger, quoi! La musique toujours excellente, les superpositions de sa voix, et quelle voix! Ça promet pour le reste de l'album!jeudi 15 octobre 2009
Parlons mode
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N'importe quoi
mardi 13 octobre 2009
12 of 12 With Mother Nature
Voici ma première participation au "12 of 12", qui est en somme une expérience photographique qui consiste à présenter 12 photos prises le 12e jour de chaque mois. Le projet initial est de Chad Darnell, qui invite des blogueurs à publier ces 12 photos de leur quotidien sur leurs blogues respectifs. Par un effet de bouche à oreille, ou de clavier à écran, devrais-je plutôt dire, son concept est en train de faire tranquillement le tour du monde. Et c'est nul autre que Ticklebear qui m'a entraîné dans cet aventure!
Alors pour cette première fois, comme je n'avais pas beaucoup de temps à ma disposition aujourd'hui, je suis tout simplement allée faire un tour dans ma cour, et sur une rue du patelin.
Here's my first participation to the Chad Darnell's 12 of 12 project. As I did'nt have much time today for myself and I really wanted to participate, I simply took a walk in my backyard and in the neighborhood. Nature is beautiful at this time of the year, so I've been slightly influenced by it!
Alors pour cette première fois, comme je n'avais pas beaucoup de temps à ma disposition aujourd'hui, je suis tout simplement allée faire un tour dans ma cour, et sur une rue du patelin.
Here's my first participation to the Chad Darnell's 12 of 12 project. As I did'nt have much time today for myself and I really wanted to participate, I simply took a walk in my backyard and in the neighborhood. Nature is beautiful at this time of the year, so I've been slightly influenced by it!
jeudi 8 octobre 2009
Élisapie Isaac
Mise à jour 24 octobre :
Pour ma mini-critique et entendre les pièces de l'album, c'est par ICI.
Oh, je sens que je vais encore dépenser, moi là!!
Il y a un engouement actuellement à propos de cette belle sirène du nord dans tous les médias. Je regarde la télé seulement deux ou trois fois par semaine, et j'ai remarqué sa présence un peu partout. À la radio aussi, elle fait plusieurs entrevues. C'est la nouveauté de l'heure, mais pour une fois je leur donne raison!
Ils ont fait la même chose avec Coeur de Pirate, Stéphanie Lapointe et plusieurs autres, et à chaque fois je me demandais ce qui pouvait bien justifier cette folie collective...
Mais là, le but est atteint! Je l'aaaaaime! J'aime sa voix, ses chansons autant que sa personnalité. Et je remarque que cela va toujours de pair. Du moins pour moi. Si la personne est bonne, son expression, son art, le sera aussi.
J'ai regardé l'émission Studio 12 le weekend dernier et c'est Élisapie qui en était l'invitée. Elle y présentait son nouvel album et pour certaines pièces, elle était accompagnée d'un autre artiste. J'ai beaucoup apprécié les duos qu'elle a fait avec Jorane. Il y a plusieurs influences dans sa musique et cela crée un album varié et riche sur lequel elle s'exprime en trois langues. Je ne peux pas encore le commenter en bonne et due forme, car je n'ai écouté que des extraits sur internet, mais ce que j'ai vu à l'émission Studio 12 m'a convaincu de l'acheter! Vous pouvez voir l'émission ici (en espérant qu'il n'y ait pas de lois stupides qui empêcheraient les gens d'ailleurs de voir cette émission!).
Et voici deux vidéos présentant la belle, qui faisait anciennement partie du groupe Taïma. Un en français, et l'autre en anglais.
Et Élisapie a aussi fait un film présenté par l'ONF. C'est son histoire, son peuple et la confrontation de deux cultures diamétralement opposées, soit celle "du sud" et celle d'une longue tradition qui est de plus en plus difficile à maintenir.
Son album s'intitule "There Will Be Stars" et on peut en entendre trois extraits sur son site MySpace.
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Élan du coeur,
Zizique
samedi 3 octobre 2009
Bang Bang Trip
Étrange, des fois, comme une chanson du passé peut ressurgir. Comme si sa mélodie empruntait les couloirs du temps, se mélangeait aux particules d'air, passait par les conduits de ventilation, et s'infiltrait dans les subconscients pour finalement donner l'impression aux tartistes en herbe d'interpréter quelque chose de in tout en croyant à l'inédit de cette reprise. Le rétro est cool, donc je serai cool en reprenant un bon vieux tube cool. Cool!
Je m'étais passé cette remarque en entendant Stéphanie Lapointe reprendre ce vieux tube de façon tellement insipide, que ça m'a vraiment désolée. Autant pour la chanson, que pour la p'tite Stéphanie. Mais bon. Qui suis-je pour juger de la qualité d'interprétation d'autrui! Mais en furetant sur le blogue Listen, See, Feel, que je visite toujours avec beaucoup d'intérêt, je suis tombée sur la vidéo d'une des dernières découvertes de notre hôte Daniel. Lisa Jaeggi (la découverte) y interprète le bon vieux hit Perhaps, Perhaps et enchaîne, à mon grand étonnement, avec Bang Bang. Je suis bouche bée. Une autre? Mais kessé? Comment cette chanson peut-elle ressurgir dans la bouche de deux jeunes chanteuses d'aujourd'hui?
Et pas seulement elles.
Alors j'ai fait une petite incursion dans le passé pour retracer l'itinéraire de cette chanson que tout le monde croit être de Nancy Sinatra, fille de Frank et d'un hamster (hé qu'chu pas fine!). La voici ici toute en rose et en glinglins (c'est Diane Dufresne qui en aurait été contente en 1984!). Et admirez aussi sa technique de sortie de scène, tel un phoque sur une banquise voulant retourner à la mer.
Malgré toutes ces médisances, reste que c'est une de mes versions préférées.
Puis, les reprises ne datant pas d'aujourd'hui, en voici une autre en italien par l'intense Dalida toute en blanc.
Mais l'interprète originale est nulle autre que Cher, et la chanson avait été écrite pour elle par son Sonny Bono de mari. Et la voici ici en toute simplicité, comme à son habitude, sans chichis ni flaflas, avec une jolie coiffe qui doit être super pratique pour épousseter des stores horizontaux d'un simple mouvement de tête tout en regardant par la fenêtre. Faudrait que je lui envoie un courriel pour lui refiler ce truc...
Et maintenant la version somnifère de Stéphanie. (Réveillez-moi quand ce sera terminé)
ZZZZzzzzzzzz....
Mais l'interprétation qui m'en a bouché un coin, est celle d'Élie Dupuis, ce jeune pianiste de 14 ans, pour le film "Maman est chez le coiffeur".
Je m'arrête ici et vous épargne toutes les autres versions, dont les Sheila et compagnie, mais je voulais simplement illustrer la résurgence subite de cette chanson que je croyais avoir été délaissée quelque part dans le cours des années '70.
C'est une chanson que j'aime beaucoup, alors de grâce, évitez de la massacrer, s.v.p.!
Je m'étais passé cette remarque en entendant Stéphanie Lapointe reprendre ce vieux tube de façon tellement insipide, que ça m'a vraiment désolée. Autant pour la chanson, que pour la p'tite Stéphanie. Mais bon. Qui suis-je pour juger de la qualité d'interprétation d'autrui! Mais en furetant sur le blogue Listen, See, Feel, que je visite toujours avec beaucoup d'intérêt, je suis tombée sur la vidéo d'une des dernières découvertes de notre hôte Daniel. Lisa Jaeggi (la découverte) y interprète le bon vieux hit Perhaps, Perhaps et enchaîne, à mon grand étonnement, avec Bang Bang. Je suis bouche bée. Une autre? Mais kessé? Comment cette chanson peut-elle ressurgir dans la bouche de deux jeunes chanteuses d'aujourd'hui?
Et pas seulement elles.
Alors j'ai fait une petite incursion dans le passé pour retracer l'itinéraire de cette chanson que tout le monde croit être de Nancy Sinatra, fille de Frank et d'un hamster (hé qu'chu pas fine!). La voici ici toute en rose et en glinglins (c'est Diane Dufresne qui en aurait été contente en 1984!). Et admirez aussi sa technique de sortie de scène, tel un phoque sur une banquise voulant retourner à la mer.
Malgré toutes ces médisances, reste que c'est une de mes versions préférées.
Puis, les reprises ne datant pas d'aujourd'hui, en voici une autre en italien par l'intense Dalida toute en blanc.
Mais l'interprète originale est nulle autre que Cher, et la chanson avait été écrite pour elle par son Sonny Bono de mari. Et la voici ici en toute simplicité, comme à son habitude, sans chichis ni flaflas, avec une jolie coiffe qui doit être super pratique pour épousseter des stores horizontaux d'un simple mouvement de tête tout en regardant par la fenêtre. Faudrait que je lui envoie un courriel pour lui refiler ce truc...
Et maintenant la version somnifère de Stéphanie. (Réveillez-moi quand ce sera terminé)
ZZZZzzzzzzzz....
Mais l'interprétation qui m'en a bouché un coin, est celle d'Élie Dupuis, ce jeune pianiste de 14 ans, pour le film "Maman est chez le coiffeur".
Je m'arrête ici et vous épargne toutes les autres versions, dont les Sheila et compagnie, mais je voulais simplement illustrer la résurgence subite de cette chanson que je croyais avoir été délaissée quelque part dans le cours des années '70.
C'est une chanson que j'aime beaucoup, alors de grâce, évitez de la massacrer, s.v.p.!
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