Are you nervous?

Clic clic par ici, clic clic par là, et puis on arrive à ça...

Clic!

12 of 12 de Octobre 2010

Oh boy!! Nous étions le 12 hier!?!

Heureusement que j'ai pris quelques photos durant ma journée, car j'aurais carrément passé tout droit pour ce mois-ci. C'eut été dommage, car cela fait exactement un an que je participe à ce projet. Déjà. Diantre!

Alors voici mon 8 of 12.

It is a good thing I took some pictures yesterday, because I totally forgot about this 12 of 12 project. Oups!

So, all I have to show, is a mini 12 of 12. It is an 8 of 12 to be exact...

En marchant pour me rendre au travail à l'UQO (Université du Québec en Outaouais campus de St-Jérôme), je passe sur ce pont sous lequel coule la Rivière du Nord. St-Jérôme s'est bâtie le long des rives de cette rivière.

Going to work, I have to cross "la Rivière du Nord" wich is flowing through the city of St-Jérôme.

La rivière se scinde en deux un peu en amont du pont, et un parc est aménagé juste sur la pointe.

La Rivière du Nord is splitting just a little bit up north of the bridge, so we have to cross two bridges to get on the other side. They built this park between the "two" rivers.

Gros plan sur les fleurs orange des plate-bandes.

Close-up on the orange flowers in the park.

Encore le même parc.

An other point of view of the park.

De l'autre côté de la rivière, il y a la Promenade de la Rivière du Nord qui traverse le centre-ville de St-Jérôme sur environ 0,6km. Tout le long de cette promenade, des panneaux d'interprétation nous racontent l'histoire de la ville tout en offrant de magnifiques points de vue.

On the other side of the river, there is La promenade de la Rivière du Nord that goes accros the city for about 0,6km. We can read on this promenade about the history of the city of St-Jérôme.

Et voilà, tout de suite après la Promenade de la Rivière du Nord, juste au coin de la rue se trouve le tout nouveau campus de l'UQO. Et c'est là que je dois aller travailler aujourd'hui.

On the corner of the street, right after the river and the Promenade, there is the university where I have to go work today.

En soirée, souper dans la famille de l'Homme pour l'Action de Grâce. Voici la petite nièce de mon homme, Euridice. Trop mignonne dans les chaussures de sa grande-tante!

In the evening, we had dinner in my man's family for the Thank's Giving. One day after. And here is Euridice, in her great aunt's shoes!

Woups! Cendrillon a perdu son soulier...

Cinderella just lost her shoe!

As always, thank's to Chad Darnell for this wonderful project of 12 of 12! To see what others did this month, follow this link.

Du coq à l'âne

Commençons par l'âne. Car cette nouvelle rencontre (virtuellement parlant, bien sûr), vient d'ajouter un échelon dans l'échelle de ma perte de temps. Mais pas que. Oui, c'était une phrase. Non, je ne puis dire qu'il s'agit de pure perte de temps. Car force m'est d'avouer l'originalité de ce bidouilleur de vidéos musicaux. D'où sort-il? Je m'en sacre. Tout ce que je sais, c'est que je n'ai pu m'empêcher d'aller voir une autre vidéo, puis une autre, puis une autre, puis... enfin... voyez ce que je veux dire?

Alors en voici une:

Ah, et puis une autre:

Voyez le genre? Il y en a pour des heures de plaisir. C'est qu'il semble plutôt prolifique, ce petit. 

Ah, au fait, il s'agit de : The Mystery Guitar Man. Oui, je sais, vous n'avez vu que du clavier. Mais il y en a aussi avec de la guitare ou du ukulélé. Mais pas que. Oui, c'est encore la même phrase. Non, je ne l'utiliserai plus. Pour ce billet du moins.

Bon.

Maintenant, passons aux coqs. Je fais l'analogie, ici, avec les combats de coqs. Disons ceux qui ont lieu, entre autre, au Mexique.

Ouf! J'ai fait le lien. 

Restons, cependant, dans le thème de la guitare. Voilà quelques années que je m'époustoufle, de temps à autre, en allant visionner des vidéos de Rodrigo y Gabriela. Car ce n'est pas de la musique que j'écoute seulement, c'est de la musique que je regarde! Et vous allez la regarder aussi, bon!

Han? Pas pire, n'est-ce pas? Je les aime bien ces petits. Vous pouvez les visionner tout plein, les vidéos de leurs spectacles pullulent sur la toile. Tiens, je vous colle une de leur reprise: Stairway To Heaven.

Leur site web: http://www.rodgab.com/
Leur MySpace: http://www.myspace.com/rodrigoygabriela

Voilà. C'est tout ce que j'avais à dire pour ce soir. Bonne nuit les tout p'tits, et à bientôt, non d'une bobinette.

Entamons ce nouveau mois sur une bonne note

Je profite de ce billet pour faire l'éloge de l'amitié. Des amis, je n'en ai pas des tonnes. Mais ceux que j'ai ont été sélectionnés avec attention. Je ne les ai pas cherchés, ils se sont trouvés sur mon chemin. J'aurais pu passer outre et continuer ma vie sans jamais les connaître. Mais non! Il se trouve que nous ayons eu à cheminer ensemble sur certains sentiers jusqu'à la prochaine bifurcation, et ce copinage temporaire fut assez intense pour que je n'aie pas envie de les voir se perdre à jamais au détour du chemin. Certains sont restés hors de ma vue assez longtemps, mais les chemins finissent presque toujours par se recroiser à un moment donné. Et selon nos cheminements respectifs, nous nous sommes retrouvés à certaines croisées en même temps. Ben là!! Tu parles d'une belle coïncidence! Et paf! nous revoilà exactement tels que nous étions à l'embranchement qui nous avait vu nous séparer il y a... combien de temps, déjà?

Pour certaines amitiés, nos chemins parallèles nous permettaient de nous voir entre les branches. Nous ne nous sommes jamais vraiment quittés, mais nos rencontres sont restées fugaces. Heureusement qu'il y a internet pour la plupart d'entres nous!

Et justement, tout ce préambule sentimental sert à présenter cette vidéo que ma chère Viv!, qui est d'une discrétion on ne peut plus secrète, a fait parvenir à ses amies. Et je suis du nombre (Wouh!). Ce qui m'a fait réfléchir sur la nature du lien qui me lie à tous mes amis. Et outre leur grande sensibilité, c'est sans conteste un certain sens de l'humour commun. Et paf! Elle est tombée dans le mille! Et malgré mes réflexions sur ce qui me fait rigoler ou non, je n'ai pas de réponse rationnelle. Et c'est probablement ça, le fond du fond : l’irrationalité.

Alors sans plus de babillage, je vous laisse visionner ce monument de vacuité. Cette perle rare dans l'art de perdre son temps à fond la caisse. Ce n'importe quoi dont pour je ne sais pour quelles mystérieuses raisons, je regarde toujours avec le même sourire niais et jubilatoire. Avoir un peu plus de fierté, j'en serais honteuse. Mais non. Je m'assume, je persiste et signe. Ceux qui me connaissent, mes amis, ils ne seront pas surpris. Je les soupçonne même de se bidonner à l'abri de leur écran. Pour les autres, ben... revenez au prochain billet. Qui sait? J'aurai peut-être évolué un brin?