samedi 28 juillet 2007
Bée comme... Barbie
Fouillez moi, je ne saurais comment expliquer le fait que je me suis retrouvée sur le site de Barbie. J'étais simplement à fureter sur Google au sujet de ceintures fléchées, puis sans crier gare, j'ai taper Barbie dans le champ de recherche. Puis j'ai cliqué sur la première proposition offerte. Et vlan! S'offrait à mon regard un univers rose et mauve dans lequel je pouvais interagir pour donner à Barbie un décor de "mon choix" ainsi qu'une tenue de "mon choix" en choisissant dans trois ou quatre propositions.
J'ai même pu me créer un Ken à "mon goût".
Mais... je m'inquiète. J'ai pourtant tellement joué avec mes Barbie étant jeune. Il y a quelque chose de dérangeant dans tout cela. Là ou les cheveux m'ont retroussé sur la tête, c'est quand j'ai eu à choisir les titres pour ma couverture de magazine (j'ai choisi, à mon avis les deux seules options respectables). Vont-ils un peu trop loin pour se garantir l'intérêt de nos jeunes filles?
Peut-être que matante s'inquiète pour rien. Mais n'empêche que... "secret de mode pour les animaux" ; c'est pas aller un ti-peu loin dans la futilité?
jeudi 26 juillet 2007
Écouter l'enfant en soi
Rien? Mais non!!! Ça fait des jours et des semaines que j'ai envie de jouer au pichenottes! Tellement que j'en tournais en rond en soupirant. Je grafignais toute surface de mes index nerveux. Je pichenottais dans le vide rêvant de vider une table de jeu de main de maître.
Qu'à cela ne tienne, ne reculant devant aucune dépense, je me suis payée LE JEU. Comme celui de mon enfance. Pivotant. Des pitounes en bois aux couleurs rutilantes. Woouuu... des heures de plaisir!
samedi 21 juillet 2007
Folie collective
juste parce que j'ai envie de rire,
juste parce que j'ai eu envie de partager ce qui me fait rire à tout coup,
voici un petit video d'un comique qui me manque...
Le Grand Restaurant - Louis de Funes - Danse
envoyé par monsieurpatrice. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
jeudi 19 juillet 2007
Public enchanté
Si ce n'était le fait qu'elle donnait sa dernière représentation hier soir, j'y retournais en courrant ce soir meme!
Encore, encore, encore!
lundi 16 juillet 2007
Voix matinale
Mais détrompez-vous.
Veuillez imaginer un être fragile, délicat, tout enrobé d'une féminité encore ensommeillée, les cheveux vaporeux et la bretelle d'un négligé de soie fine retombant sur une épaule, dans une atmosphère pure aux parfums délicats.
vendredi 13 juillet 2007
Après la pluie le beau temps
La nature a tenté de balancer cette journée en parant son ciel de ses plus belles couleurs.
Un enchantement pour les yeux et un baume pour le coeur
Journée narine ouverte!
Quelle belle façon d'entamer un beau vendredi 13.
N'en pouvant plus, mon pneumologue avait tant envie de me visiter les bronches, que j'ai dû me plier à sa requête. Et c'est ce matin qu'il m'a joué dans le nez sans vergogne.
Dire que c'est une expérience banale serait faux. Douloureuse? Non. Mais oh combien inconfortable...
Malgré tout les produits que l'on m'a injecté pour me relaxer, me détendre, me calmer les nerfs et m'amortir, j'avoue qu'il y avait un petit fond latent d'inquiétude qui prenait constamment le dessus. Que voulez-vous? Juste au moment où je commençais à ressentir un genre de bien-être, c'est là qu'une infirmière est arrivée pour m'expliquer en long et en large le processus de l'examen dans tous ses détails.
J'ai tu demandé de quoi à quelqu'un? Je veux tu le savoir qu'on va me passer par le nez pour m'explorer les bronches?
Malgré le ton bienveillant et rassurant de l'infirmière, j'ai senti une légère angoisse venir me bousiller l'état de quasi confort acquis à grand coups d'injections.
L'examen comme tel fut assez bref, on m'a injecté des substances et introduit des tuyaux par les narines jusqu'aux bronches, on m'a dit d'avaler alors que tout ce que je pouvais faire était de tousser comme une damnée, comme une noyée dans des substances en tous genres. Je ne me suis pas trop rendue compte de rien, on m'a retiré tous ces boyaux et tiges et on m'a dit bonjour. On m'a roulé jusqu'à la salle d'observation où on m'a observé durant au moins une heure.
Et voilà.
Qu'on ne me refasse plus jamais une chose pareille!
mercredi 11 juillet 2007
Le nom de la bête
Qu'est-ce que la Bronchectasie? Outre le fait d'être mon empêcheur de tourner en rond depuis le début de l'année, voici sa définition très résumée : Dilatation anormale, permanente et irréversible du calibre des bronches qui sont le siège d'une inflammation importante et d'une infection chronique.
Charmant n'est-ce pas? Ce sont les mots permanente et irréversible qui me font vaciller l'esprit sur le bord d'un gouffre de dépit noir et profond. Moi qui n'avais qu'un seul obfectif en tête - me débarasser au P.C. de cette saloperie - il semble que je devrai apprendre à vivre avec et à gérer mes sécrétions. Sexy!
"Oh, attention chéri de ne point trébucher sur mon crachoir"
Je devrai apprendre à me servir de façon discrète et élégante d'un petit appareil qui se glisse facilement dans un sac à main et qui a pour fonction de me faire décoller le mucus dans le but avoué de le recracher ici et là au gré de ma fantaisie. Bel avenir en perspective!
Quelqu'un à envie d'un petit souper en tête à tête avec moi?
lundi 9 juillet 2007
Question existentielle 9
samedi 7 juillet 2007
Un chausson à marde, avec ça?
Ben voilà :
Salut les superstitieux!
C'est pas extraordinaire ça? Wouh!
La prochaine fois sera dans mille ans... faque faites de quoi de remarquable aujourd'hui même!
J'ai vu aux nouvelles qu'il y en a un paquet qui vont se marier aujourd'hui. Le chiffre 7 étant associé à la chance, on prend pas de chances!
Je suis certaine que Loto-Québec va faire des affaires d'or aujourd'hui... grâce à vous! Gang de superstitieux.
Les bambins qui ont 7 ans aujourd'hui vont sûrement passer une année de chance extraordinaire. Que dire de ceux qui ont 77 ans aujourd'hui... ils vont péter le feu (attention au couches inflammables) durant toute l'année.
Non mais... ils en ont parlé aux nouvelles... AUX NOUVELLES!! Est-ce juste moi ou bedon...
Bon OK. Je vais me tourner la langue sept fois avant d'aller plus loin.
Vous savez qu'il y a sept couleurs dans l'arc en ciel?
Que les merveilles du monde sont au nombre de 7?
Le cinéma est le 7e art.
Combien Blanche-Neige avait-elle de nains?
Il y a sept jours dans une semaine...
Nos numéros de téléphone ont 7 chiffres!
Il y sept notes dans la gamme...
Ah, c'est trop! Je cours m'acheter sept billets de loto. Par contre, c'est un peu serré pour me marier. Tant pis! Je vais me faire des brochettes avec sept cubes de viande chacune. Tiens, je pourrais aller me louer "Seven" ou "Le septième sceau" oue encore "Les sept femmes de Barbe-Rousse".
En tout cas, c'est pas le temps de casser un miroir... sept ans de malheur à partir d'aujourd'hui, je ne sais pas ce que cela pourrait donner.
jeudi 5 juillet 2007
Flâneries urbaines
J'y ai passé une partie de la journée mardi avec meuman, et, pour quelque obscure raison, il n'y avait à peu près rien à la programmation durant l'après-midi. Nous avons bamboché sur le site en évitant les averses de pluie, avons bu de la bière, avons regardé les amuseurs publiques, avons soupé et avons quitté bredouille en soirée avant LE gros show qui débutait à 21:30.
Mais, je ne passerai pas sous silence le moment culminant de l'après-midi : la parade de la Louisiane qui a lieu à tous les jours avec Swing Tonique Jazz Band. Ce fut ce que nous avons entendu de plus enlevant!
Voilà. Wouh!
On ne se peut plus
Hier, la température a eu raison de mes envies de jazz... La flotte! Yark!
J'ai opté pour le cinéma.Je suis allée voir "Ensemble c'est tout" à l'Ex-Centris. J'y ai passé un très beau moment. En plein mon genre de film. Pour le résumer, on pourrait dire que l'on a besoin des autres pour surmonter nos peurs et difficultés. Seul, on piétine et on s'enlise dans un pseudo confort dans lequel on refuse de faire face à nos démons. Il y a des gens qui nous font avancer, et d'autres qui nous sont maléfiques. Mais ce n'est pas dutout un film lourd. C'est même plutôt sympathique.
C'est tiré d'un roman d'Anna Gavalda. Je n'ai pas encore lu cette auteure, mais je me dirige de ce pas vers la Bibliothèque Nationale pour mettre la main sur un de ses romans.