Assez avec mes doléances. (quatrième album... non mais... pfff, j'en reviens quand même pas!)
Tchoumantché s'écoute doucement. Lascivement. On se laisse glisser sur la guitare Gretsch de Rokia Traoré, on s'abandonne sur sa voix tantôt légèrement tremblotante dans les aigus, et tellement chaude dans les notes graves. J'aime quand sa voix descend dans le long de sa gorge et y vibre. J'aime le petit filet de voix murmurant quand la musique se fait discrète. J'aime tout ce cd, bref. Elle y signe toutes les chansons à l'exception de l'intéressante reprise de The Man I Love de Billie Holiday, et elle interprète en Bambara tous ses textes sauf deux en français.
Elle y cause de la vie, de l'inexorable temps qui passe, de l'amour de cette vie malgré tout, de son Afrique. On traverse cet album comme on rêve. Des paroles poétiques pour une réalité crue. Une musique moderne aux sons traditionnels.Une très belle personne, cette Rokia Traoré, et ce, dans tous les sens du terme!
Elle y cause de la vie, de l'inexorable temps qui passe, de l'amour de cette vie malgré tout, de son Afrique. On traverse cet album comme on rêve. Des paroles poétiques pour une réalité crue. Une musique moderne aux sons traditionnels.Une très belle personne, cette Rokia Traoré, et ce, dans tous les sens du terme!
Voici l'intégralité de Tchamantché
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